L
a figuration contemporaine en France est relativement rare, et peu d'artistes figuratifs
travaillent sans copier les photos. Même l'art
abstrait, inventé par Kandinski il y a 110 ans, semble dépassé. L'art conceptuel et numérique est la tendance du
moment.
Mel KLAPHOLZ a commencé sa carrière à New York dans les années 50 comme « commercial artist », en travaillant dans la publicité et l'édition. Il a été illustrateur pour différents éditeurs et magazines. Plus tard, il a commencé à peindre. "J'étais alors comme un jeune amoureux! Et je le suis toujours."
Après quelques expériences du cubisme, d'abstraction et de surréalisme, il a réalisé que le monde visuel: la forme humaine, le paysage, les natures mortes, était ce qui le passionnait.
Il continue à chercher à exprimer le monde qu'il voit dans un style réaliste. Il travaille d'après le sujet qui est devant lui, ou qui existe dans son imaginaire. Le monde visuel l'a toujours fasciné.
Giacometti revendiquait que dans l'art le plus important est le sujet. Pour lui, le sujet est générateur de créativité et non pas la technique et
les
beaux effets. On ne peut nier que l'artiste a besoin de moyens techniques pour mieux exprimer ses idées, mais si la technique joue le rôle majeur, le résultat sera
superficiel.
Il lui semble qu'il est une sorte de « dinosaure» qui croit toujours que le dessin, la compréhension du volume, l'espace et la couleur sont les piliers fondamentaux de l'art (figuratif). Ces valeurs artistiques ne lui semblent plus à la mode aujourd'hui, mais tant pis, il n'a jamais suivi la mode!
Mel Klapholz, 2020
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